Des collègues toxiques, ça existe. Peut-on réussir à les côtoyer sans qu’ils gâchent nos journées de travail? Oui! Voici quelques trucs pour y arriver.
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Les indécis
La personne indécise n’arrive pas à prendre de décision. Elle hésite, réfléchit longtemps, remet à plus tard. Elle préfère souvent ne pas se positionner au lieu de faire un choix. Elle ralentit donc tout le groupe, car les dossiers s’éternisent ou n’aboutissent carrément jamais.
Quoi faire?
Ramenez-la aux faits. Aidez-la à trouver des pistes de solution. Essayez de comprendre la source de ses hésitations pour la rassurer. Si vous pouvez, donnez-lui quelques tâches simples où les décisions seront faciles à prendre : elle expérimentera l’affirmation et lui donnera confiance.
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Les je-sais-tout
La personne je-sais-tout vous explique comment faire votre travail. Elle a toujours raison, et n’écoute pas les opinions divergentes. Elle parle beaucoup (trop!), avec arrogance la plupart du temps.
Quoi faire?
Coupez court à la conversation, mais poliment, par exemple en lui répondant : « Merci du partage, je vais y réfléchir ». Gardez votre oreille attentive pour les autres!
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Les rabat-joie
La personne rabat-joie ne voit pas le positif. Elle n’est sûrement pas comblée au travail. Le patron lui veut du mal, les collègues sont incompétents, les clients ne comprennent rien. Se plaindre occupe son quotidien.
Quoi faire?
Fuyez cette personne! Autrement, faites la sourde oreille et concentrez-vous sur le positif en vous… en vous esquivant le plus rapidement possible! Malgré toutes vos bonnes intentions, vous n’arriverez pas à changer son état d’esprit.
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Les trop aimables
La personne trop aimable veut être appréciée de tous. Elle est toujours d’accord, très ouverte, sociable, presque parfaite, quoi. Le souci, c’est qu’elle approuve tout et son contraire. Que pense‑t-elle vraiment? Comment se fier à ses affirmations et lui faire confiance?
Quoi faire?
Faites-lui comprendre que vous allez la respecter même si elle n’est pas toujours d’accord avec vous. Ne la confrontez surtout pas : cela ravivera son besoin vital d’être acceptée. Pour savoir ce qu’elle pense vraiment, portez attention à ses plaisanteries : c’est souvent sa façon d’exprimer son opinion.
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Les chialeux
La personne chialeuse se plaint, se lamente, critique. Ses pathétiques lamentations empoisonnent l’ambiance de travail. Toujours victime, elle ne cherche pas de solution.
Quoi faire?
N’approuvez surtout pas les raisons de ses plaintes. Puisque le chialage sert souvent à attirer l’attention pour combler un manque, n’essayez pas de la brusquer. Comprenez plutôt sa vulnérabilité. Ainsi, vous éviterez de tomber dans la colère et l’exaspération.
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Les tortionnaires
La personne tortionnaire parle dans votre dos, se moque de vous et change de corridor lorsqu’elle vous croise. Vous saluer semble douloureux. Son objectif : vous voir ridiculiser… ou que vous disparaissiez de sa vue à jamais.
Quoi faire?
Faites d’abord une introspection. Peut-être que vos agissements sont mal interprétés? Demandez à un collègue de confiance de vous exposer son point de vue. Si vous ne semblez pas en tort, faites abstraction de votre tortionnaire. Car le poids des émotions négatives, ce n’est pas à vous de le porter. Et rappelez-vous qu’il est impossible de plaire à tout le monde.